Liposuccion lifting, implants mammaires ou greffe de cheveux hommes et femmes s'y pressent pour modifier un aspect physique qui les complexe. Depuis peu, une nouvelle clientĂšle a fait son
DĂ©finition: qu'appelle-t-on une chirurgie esthĂ©tique ? "La chirurgie esthĂ©tique est une chirurgie du bien-ĂȘtre, rĂ©sume d'emblĂ©e le Dr CĂ©cile Winter, chirurgien de la face et du cou.Le bien-ĂȘtre peut ĂȘtre assimilĂ© au "bien-vieillir" ou Ă une harmonisation de son apparence.Cette chirurgie peut aussi ĂȘtre associĂ©e Ă un acte de chirurgie fonctionnelle, comme par exemple
ChirurgieesthĂ©tique : Ă la recherche de la perfection! A ctuellement, beaucoup de gens ont du mal Ă accepter les imperfections de leur corps. Pour pallier les petits dĂ©fauts, certains dâentre eux ont recours Ă la
DeMiami Ă la CorĂ©e du Sud, en passant par le Royaume-Uni et le Canada, le reporter mĂšne une enquĂȘte sur le corps «parfait». Aux Etats-Unis, rencontre avec un chirurgien esthĂ©tique qui
Lachirurgie visant Ă rĂ©parer et Ă remplacer lâapparence du corps et du visage humains est loin dâĂȘtre un nouvel art ou une nouvelle science. En fait, les manuels de chirurgie plastique remontent aux annĂ©es 1800 et lâexpĂ©rimentation dans ce domaine remonte presque aussi loin que la mĂ©decine elle-mĂȘme. Câest un sujet qui est exceptionnellement fascinant pour
ofvVeq. InfosDiffusionsCastingRĂ©sumĂ©Avoir un physique au top, une taille de guĂȘpe, des abdos en bĂ©ton, ça fait rĂȘver tout le monde ou presque. Dans notre sociĂ©tĂ© si attachĂ©e aux apparences, la course Ă la beautĂ© fait de plus en plus d'adeptes. Et quand on veut rester jeune et en forme, c'est un combat permanent ! Sport, rĂ©gimes, chirurgie esthĂ©tique tous les moyens sont bons pour se sculpter un corps parfait... Comment une danseuse de cabaret et un champion de culturisme font-ils pour se maintenir au top et rester performants, malgrĂ© la douleur et la fatigue ?GenreMagazine - SociĂ©tĂ©AnnĂ©e de sortie2017AvecMarielle FournierInfos supplĂ©mentairesâAvis des internautes 1Vous avez aimĂ© ce programme ?
Lâimage prend de plus en plus dâimportance sur les rĂ©seaux sociaux. Les utilisateurs sont prĂȘts Ă tout pour se montrer sous leur plus beau jour. Entre quĂȘte de reconnaissance, culte du corps, et confiance en soi, comment ces plateformes vĂ©hiculent-elles des idĂ©aux esthĂ©tiques ? Salle de sport, Colombes / Albane Guichard Entre deux sĂ©ries de tractions, Romain, 23 ans, fait une sĂ©rie de photos. Sur son compte Instagram, plus de 700 abonnĂ©s peuvent suivre ses performances physiques et âlikerâ ses biceps gonflĂ©s. Je les poste pour avoir de la reconnaissance », raconte le fitboy. Miroirs utopiques et parfois dangereux de la perfection esthĂ©tique, les rĂ©seaux sociaux exacerbent les diktats de beautĂ© de nos sociĂ©tĂ©s. Ventre plat, cĂŽtes saillantes, fesses rebondies, plaquette de chocolat et bras sculptĂ©s, il y a des critĂšres Ă respecter pour afficher un corps parfait ». Sur Instagram, Youtube ou mĂȘme Facebook, les challenges minceur ou fitness sâenchaĂźnent, parfois au pĂ©ril de la santĂ© des participants. Pour des rĂ©sultats rapides, certains internautes optent mĂȘme pour des âshakersâ protĂ©inĂ©s, nouveau rĂ©gime Ă la mode. En 2018, la communautĂ© fitness, surnommĂ©e âfitfamâ pour âfitness familyâ, reprĂ©sentait pas moins de 87 millions de publications sur Instagram. Des communautĂ©s au service du corps parfait Si le culte du corps a toujours existĂ©, ces plateformes en ligne ont rajoutĂ© Ă cette obsession de la perfection physique un besoin de reconnaissance par lâimage. DĂšs le dĂ©but des annĂ©es 2000, les blogs et premiers rĂ©seaux sociaux ont servi de porte parole Ă lâinjonction Ă la minceur, un rĂŽle quâassurait dĂ©jĂ lâindustrie de la mode. Des groupes prĂŽnant lâanorexie, majoritairement constituĂ©es dâadolescentes, ont fleuri sur Internet. Les pro-ana » surnom que se donnent les pro-anorexie» sây Ă©changent des conseils pour rĂ©sister Ă la faim et suivent Ă la lettre les directives de leur amie Ana, personnification de lâanorexie, parfois jusque dans la tombe. Sans ĂȘtre Ă lâorigine des troubles du comportement alimentaire, les rĂ©seaux sociaux ont amplifiĂ© ces phĂ©nomĂšnes, comme lâexplique Laurence Plumey, mĂ©decin nutritionniste et diĂ©tĂ©ticienne Il y a cet espĂšce de culte de la minceur et avec les rĂ©seaux sociaux, il y a des communautĂ©s qui se crĂ©ent, des alliances qui renforcent chez chacune la conviction de bien faire. Ăa va ĂȘtre Ă celle qui rĂ©ussit le plus Ă maigrir, Ă avoir le ventre le plus plat. Le fait de pouvoir communiquer augmente lâĂ©mulation et leur donne des ailes pour se jeter des paris fous. » Ces paris fous, ou challenges, ne cessent de se renouveler sur les rĂ©seaux. Thigh gap challenge » Ă©cart entre les cuisses, A4 challenge » taille plus fine que la largeur dâune feuille A4, les adeptes de la maigreur nâont aucune limite. Depuis quelques annĂ©es, la tendance est aux dĂ©fis sportifs. Du 30 days squat challenge » exercice de flexion des jambes pour un fessier musclĂ© en 30 jours au Top Body Challenge » pour un corps dâathlĂšte en 12 semaines, le but reste le mĂȘme transformer son corps en un temps record. Pour la mĂ©decin nutritionniste, rapiditĂ© est synonyme de danger Il faut que les gens comprennent que ces challenges, câest un encouragement Ă se dĂ©passer. Il vaudrait bien mieux se jeter des dĂ©fis de longue durĂ©e plutĂŽt que de mettre en pĂ©ril sa santĂ©. » Mais ce nâest pas chose facile de rĂ©sister aux promesses magiques, illustrĂ©es par des millers de photos avant/aprĂšs ». Comme lâexplique la sociologue Coralie Le Caroff, le dĂ©sir de prendre part Ă ces dĂ©fis est inhĂ©rent aux rĂ©seaux sociaux Voir des corps parfaits peut produire des comportements de mimĂ©tisme, de pression sur le corps des femmes ». De thinspo Ă fitspo Depuis quelques annĂ©es, la mode de la minceur extrĂȘme a laissĂ© place Ă la quĂȘte du corps plus musclĂ©. Les hashtags fitspo » et strongisthenewsexy » ont pris le pas sur le hashtag thinspo ». Sur le papier, câest positif. Mieux vaut que les jeunes adolescentes rĂȘvent devant des photos de fitgirls, certes minces mais athlĂ©tiques et en bonne santĂ©, que sur des corps rachitiques. Et si certaines fitgirls viennent parfois Ă la salle dans lâunique but de se prendre en photo, au moins, elles ne restent pas avachies sur leurs canapĂ©s », estime Laetitia Massonneau, qui sâentraĂźne pour le diplĂŽme de coach sportif. LaĂ«ticia Massonneau, fitgirl / ChloĂ© Sartena Si les hommes sont moins touchĂ©s que les femmes par lâanorexie, ils sont tout aussi nombreux Ă peupler les salles de sport. Pour la premiĂšre fois, les deux sexes sont concernĂ©s Ă Ă©galitĂ© par cette quĂȘte du corps idĂ©al. Le genre est gommĂ© sur ces espaces. Hommes et femmes sont au mĂȘme niveau dâinjonction de perfection », explique Coralie Lecaroff. Romain pratique la musculation depuis 6 ans et admet ĂȘtre prĂ©occupĂ© par son image. Il lit avec attention les commentaires sous ses photos Instagram Quand on me dit câest lourd », fort », jâavoue jâaime bien ! » Au-delĂ du genre, tous Ăąges sont concernĂ©s. Je vois de plus en plus dâhommes se mettre sur Instagram, raconte Romain. MĂȘme des gens dâune quarantaine dâannĂ©es postent leurs performances physiques en ligne. » Cette obsession des hommes pour leur image a passĂ© un cap, estime Laetitia Il suffit de regarder le nombre de mecs dans les salons dâesthĂ©tique. Les hommes prennent beaucoup plus soin dâeux ». Comment expliquer une telle tendance ? Câest liĂ© aux images dans les pubs et sur les rĂ©seaux que renvoient les footballeurs par exemple. » PoussĂ©e Ă son maximum, la quĂȘte dâun corps sculptĂ© peut conduire Ă une addiction la bigorexie, maladie de dĂ©pendance Ă une pratique intensive et quotidienne du sport dont souffrent les sportifs, professionnels ou non. Certains deviennent mĂȘme accros aux rĂ©seaux sociaux et sâimposent une frĂ©quence de publication Ă©levĂ©e, au dĂ©triment du plaisir sportif. Ces gens ne profitent plus de lâinstant. Si tu fais ta sĂ©ance pour publier sur Insta, tu nâes pas dans le sport », estime Laetitia. La course aux publications / ChloĂ© Sartena Shakers ou blancs de poulet ? Lâobsession pour le muscle ne se limite pas Ă la pratique du sport en salle. Quand on travaille son corps, câest 30% de sport et 70% de nutrition », explique Benjamin Martin, pompier et adepte de musculation. Sur les rĂ©seaux, les fitgirls et fitboys vantent les bienfaits des rĂ©gimes ultra protĂ©inĂ©s. Et puisque manger du jambon de dinde et du blanc de poulet 4 fois par jour ne suffit pas toujours, nombreux sont ceux qui ont recours Ă des complĂ©ments alimentaires. Le plus connu la Whey, une poudre hyperprotĂ©inĂ©e produite Ă partir de lait de vache, trĂšs en vogue sur les rĂ©seaux. Sur Youtube, les cĂ©lĂ©britĂ©s comme Tibo InShape font la promotion de leur Whey et se filment en plein entraĂźnement Ces vidĂ©os sont une source de motivation », admet Benjamin. On se dit que sâils y sont arrivĂ©s, pourquoi pas nous. » AprĂšs sâĂȘtre laissĂ© tenter par la Whey, le pompier trouve dĂ©sormais ses protĂ©ines dans son alimentation Au dĂ©but il y a un engouement, on en prend, on sâentraĂźne un max, on fait tout ce que les Youtubeurs disent. Mais avec le recul, câest juste de la poudre. Autant manger de la dinde, du jambon. Il y a des protĂ©ines mais elles sont naturelles. » Romain, lui, essaie chaque nouveau complĂ©ment alimentaire Il y a beaucoup de marques, jâai tout testĂ©. Le Booster ça ne mâa pas trop fait effet. La Whey je nâai pas senti la diffĂ©rence. Le PreWorkout mâa fait de lâeffet, ça me picotait, jâavais envie de mâentraĂźner. » Tous les produits ne contiennent pas les mĂȘmes concentrations. Pourtant, ceux qui en font la promotion prĂ©cisent rarement la quantitĂ© Ă ne pas dĂ©passer. Ils nâexpliquent pas grand chose, tĂ©moigne Benjamin. Je pense quâil y a des bases en nutrition Ă connaĂźtre avant de prendre de la Whey ». Et ce nâest pas une mĂ©decin nutritionniste qui lui dira le contraire Un shaker dans la journĂ©e, si ils mangent Ă©quilibrĂ© par ailleurs, ça va. Câest lâexcĂšs le problĂšme et il nây a personne pour leur expliquer quelle est la frontiĂšre Ă ne pas franchir », regrette Laurence Plumey. Au-delĂ dâune certaine quantitĂ©, ces complĂ©ments sont nocifs pour la santĂ© Shakers protĂ©inĂ©s, en complĂ©ment ou en substution dâun repas / Albane Guichard Trop de protĂ©ines, ça abĂźme les reins. Jâai eu un patient qui sâest jetĂ© Ă corps perdu dans la pratique du sport en salle et qui sâest mis Ă consommer des shakers et du poulet Ă des doses qui frisaient lâabsurde, raconte la nutritionniste. Au lieu de 60 Ă 80 grammes de protĂ©ines par jour, il nâĂ©tait pas loin de 300 grammes. » ConsĂ©quence ? Une hospitalisation pour insuffisance rĂ©nale suivie de 6 mois sous corticoĂŻdes Ă haute dose. Il ne pourra plus jamais rĂ©cupĂ©rer des reins en bonne santĂ© », regrette la mĂ©decin. Elle met en garde contre le mythe de lâhomme fort Câest vraiment passer Ă cĂŽtĂ© de lâessentiel la santĂ©. Le corps est un cadeau qui nous est donnĂ© en venant au monde et câest Ă nous dâen prendre soin. » Conduites addictives Romain, fitboy consommateur de Whey Si le sport est bon pour la santĂ©, il est Ă pratiquer avec modĂ©ration, tout comme la consommation de complĂ©ments protĂ©inĂ©s. Les hommes addicts Ă la musculation ne sont pas plus tendres avec leur corps que les jeunes filles qui sâaffament Lâanorexie tout comme les rĂ©gimes ultra protĂ©inĂ©s sont des comportements extrĂȘmes qui reprĂ©sentent un stress et un danger pour le corps humain. Ce sont des conduites addictives en fait, comme le tabac, lâalcool ou la drogue », prĂ©cise la nutritionniste. Plus grave encore, certains sportifs prennent des stĂ©roĂŻdes anabolisants, des hormones liĂ©es Ă la testostĂ©rone qui permettent de dĂ©velopper le tissu musculaire Ă une vitesse fulgurante. Je connais des gens qui envisagent de prendre entre 10 et 15 kilos de muscles en 6 mois, grĂące Ă la testostĂ©rone » raconte Benjamin. Mais ces produits dopants dĂ©rĂšglent complĂštement lâĂ©quilibre hormonal et accroissent les risques de maladies cardio-vasculaires. Heureusement, la majoritĂ© des âfitboysâ sâen tiennent Ă la Whey. AprĂšs les injonctions, la prĂ©vention Au-delĂ des risques de dĂ©clencher des addictions liĂ©es au corps chez les internautes, comme lâanorexie ou la bigorexie, les rĂ©seaux sociaux peuvent Ă©galement sauver des vies. Certaines communautĂ©s aident Ă lutter contre ces maladies. En septembre 2016, alors ĂągĂ©e de 17 ans, ThaĂŻs, ouvre un compte Instagram, happeanutb, pour suivre des filles qui se battent contre lâanorexie. Je voulais voir que câĂ©tait possible. » La plateforme lui permet dâaccĂ©lĂ©rer sa guĂ©rison. Sans Instagram, jâaurais mis beaucoup plus de temps Ă mâen sortir », juge la jeune femme. Des encouragements qui la poussent Ă partager Ă son tour son combat. Je parle de mes peurs, mes dĂ©fis, mon quotidien, pour essayer dâaider les autres comme ça mâa aidĂ© moi ». Aujourdâhui, 7 400 personnes suivent ses conseils. Je poste des recettes plus ou moins saines. Le but câest de montrer que manger ne veut pas dire grossir ». Pour Laurence Plumey, ce tĂ©moignage invitant Ă ne pas tomber dans les erreurs quâelle a commises peut beaucoup plus faire vaciller un jeune tentĂ© par une telle aventure, quâun mĂ©decin qui peut avoir un discours jugĂ© comme moralisateur et un peu trop mĂ©dical. » De plus en plus de femmes prennent dĂ©sormais la parole sur ces rĂ©seaux pour lutter contre les diktats de beautĂ© et encourager les utilisatrices Ă accepter leurs corps dans toute leurs diversitĂ©s. Telle est la devise du body positive », mouvement créé aux Etats-Unis en 1996 et devenu incontournable en 2017 avec plus de 5 millions de publications sur Instagram. Finie la suprĂ©matie du corps parfait sur les rĂ©seaux. Place au naturel cellulite et vergetures sont dĂ©sormais fiĂšrement affichĂ©es avec le hashtag bodypositive. La nutritionniste se rĂ©jouit que ces plateformes ne soient plus uniquement des outils de propagande aux effets pervers » mais servent aussi ĂȘtre dâ outils dâinformations saines ». Censure virtuelle Dans cette lignĂ©e, Instagram a interdit les hashtags comme thighgap » et thinspo », et propose de lâaide lorsque lâon recherche des comptes pro-ana ». DĂšs lors que lâon cherche le hashtag ana », Instagram prĂ©vient lâutilisateur que les publications contenants ce tag encouragent souvent un comportement pouvant nuire ou conduire au dĂ©cĂšs ». Un lien besoin dâaide » permet de contacter des lignes tĂ©lĂ©phoniques dâassistance et propose des conseils pour traverser dâĂ©ventuelles moments difficiles » . Pour ThaĂŻs, ces actions sont positives, mais insuffisantes âInstagram devrait supprimer toutes les publications pro-ana, mais garder celles qui mettent en garde ou encouragent Ă se battre comme les photos avant/aprĂšs » . Sur son compte Instagram, ThaĂŻs raconte son combat contre lâanorexie mentale. Il est cependant impossible pour la plateforme dâexercer un contrĂŽle total sur ce phĂ©nomĂšne. Ă chaque hashtag supprimĂ©, les âpro-anaâ trouvent un dĂ©rivĂ© âthinspoâ devient âthinsp0â, âthighgapâ sâĂ©crit âthightgapâ, et âanathinspoâ est le nouveau âthinspoâ. Et la suppression de la moindre publication du mot âanaâ empĂȘcherait la crĂ©ation des comptes pro guĂ©rison, taguĂ©s âanarecoveryâ, comme celui de ThaĂŻs par exemple. Depuis le 2 avril 2015, en France, la glorification de la maigreur sur les rĂ©seaux sociaux est un dĂ©lit, passible dâun an dâemprisonnement et de 10 000 euros dâamende. Cet amendement votĂ© Ă lâAssemblĂ© Nationale vise essentiellement les contenus pro-anorexie sur le Web qui incitent âune personne Ă rechercher une maigreur excessive en encourageant des restrictions alimentaires prolongĂ©es ayant pour effet de lâexposer Ă un danger de mort ou de compromettre directement sa santĂ©. » Albane Guichard ChloĂ© Sartena et Albane Guichard Lire aussi Petit dico des rĂ©seaux sociaux LoĂŻc, Instagrammeur fitness Je savais que je pouvais me faire de lâargent »
Sommaire 1 La mort aprĂšs une opĂ©ration de chirurgie esthĂ©tique 2 Le procĂšs pour un drame ressenti, mais moins grave quâil nây paraĂźt 3 VidĂ©o La chirurgie esthĂ©tique Les drames La mort aprĂšs une opĂ©ration de chirurgie esthĂ©tique Câest terrible de parler des risques de mort en matiĂšre de chirurgie esthĂ©tique, mais la majoritĂ© des opĂ©rations ne sont pas concernĂ©es par ce problĂšme. Heureusement. Il faut bien reconnaĂźtre toutefois que toute opĂ©ration comportant une anesthĂ©sie comporte un risque vital. MĂȘme pour une anesthĂ©sie locale, il peut parfaitement se produire Ă un moment donnĂ© une allergie ou un choc qui entraĂźne un coma ou un dĂ©cĂšs. Sans parler des traumatismes exceptionnels patiente qui tombe de la table, erreur du chirurgien qui plante son bistouri lĂ oĂč il ne faut pas, coup de cautĂšre stupide, utilisation dâun laser mal dirigé⊠Bref, le nombre de complications gravissimes qui peut arriver Ă une patiente nâa pas de limites. Ces cas sont Ă©videmment exceptionnels, mais quand ils se produisent, ils constituent un drame affreux â et rĂ©cemment, la presse a rapportĂ© le cas dâune patiente dĂ©cĂ©dĂ©e aprĂšs liposuccion. Nous nous souvenons par exemple dâun drame personnellement trĂšs difficile Ă assumer. Nous avions opĂ©rĂ© Ă plusieurs reprises un homme atteint dâune trĂšs curieuse maladie qui dĂ©formait son corps. En fait, cet homme avait un corps qui devenait fĂ©minin par lâaccumulation de graisse qui transformait complĂštement son apparence, avec de grosses fesses, de grosses hanches, de gros genoux. Cette obĂ©sitĂ© Ă©tait particuliĂšrement insupportable, car cet homme Ă©tait mariĂ©, avait des enfants, et sa vie sociale et professionnelle Ă©tait rendue pratiquement impossible par cette dĂ©formation irrĂ©pressible. Il avait donc subi une premiĂšre liposuccion de notre part ; il y avait un deuxiĂšme temps Ă effectuer. LâopĂ©ration se dĂ©roula sans problĂšme ; une quantitĂ© de graisse trĂšs importante fut retirĂ©e Ă chaque fois, ayant pour but de lui redonner un corps dĂ©barrassĂ© de sa graisse et rĂ©duit aux muscles masculins habituels. Malheureusement, une dizaine de jours aprĂšs lâintervention, ayant repris une ie presque normale, ce patient fit une phlĂ©bite puis une embolie profonde, quâil tait trĂšs difficile apparemment de diagnostiquer, ou tout du moins, câĂ©tait le verdict du SAMU qui vint le chercher. Lâembolie peut ĂȘtre mortelle dans pratiquement un cas sur deux ! Câest un drame qui est Ă©pouvantable dans la mesure oĂč il ne concerne pas acte opĂ©ratoire lui-mĂȘme, mais une de ses consĂ©quences tout acte mĂ©dical ou chirurgical, mĂȘme une liposuccion, provoque des traumatismes, des hĂ©matomes chez certains patients qui ont des capacitĂ©s de coagulation un peu anormales, il eut entraĂźnĂ© ce genre dâincident exceptionnel. Les dĂ©cĂšs recensĂ©s dans la littĂ©rature scientifique mondiale aprĂšs liposuccion e comptent probablement en une petite dizaine alors que le nombre de liposucions doit dĂ©passer les vingt millions ! NĂ©anmoins, ce risque existe ! Il est terrible de savoir quâun tel accident peut arriver chez un patient quâon aime beaucoup ; de plus, il ne sâagissait pas dâune opĂ©ration de chirurgie esthĂ©tique mais dâune opĂ©ration de chirurgie rĂ©paratrice. La leçon de ce genre dâaccident est que nul ne peut y Ă©chapper ; on a beau voir un bistouri trĂšs agile, beaucoup de considĂ©ration professionnelle et beaucoup dâhumilitĂ©, le destin parfois peut sâacharner notre rĂŽle est donc de mettre toutes les prĂ©cautions de notre cĂŽtĂ©, avant, pendant et aprĂšs lâopĂ©ration. Ce patient aurait-il pu ĂȘtre sauvĂ© par un traitement anticoagulant ? Statistiquement, une chance sur deux pour lui de vivre ou de mourir fut comptĂ©e, nous ne savons pas si nous nâaurions pas pu lâinfluencer dans un sens ou dans autre. En tout cas, câest avec beaucoup de ferveur que je pense Ă ce patient qui nous considĂ©rablement rendu modeste dans notre exercice professionnel. Un autre drame est peut-ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une perte de chance qui est accordĂ©e Ă une patiente Ă la suite dâune opĂ©ration pourtant bien conduite par ailleurs câest la complication sans faute thĂ©rapeutique. Nous avons le souvenir dâune patiente qui a Ă©tĂ© opĂ©rĂ©e Ă lâhĂŽpital par un chirurgien extrĂȘmement compĂ©tent dâune Ă©quipe de haut renom. LâopĂ©ration fut une banalitĂ© absolue il sâagissait dâune simple plastie mam- aire de rĂ©duction. Cette patiente nâavait pas beaucoup maigri en prĂ©opĂ©ratoire et elle Ă©tait trĂšs anxieuse. En gĂ©nĂ©ral, plus la patiente est anxieuse et exigeante, plus les risques ; complications sont importants, car lâanxiĂ©tĂ© multiplie et dĂ©veloppe chez lâopĂ©rateur une sorte de stress bizarre qui fait que quelque chose rate » pendant lâopĂ©ration. Toujours est-il que, sans vouloir incriminer ni la patiente ni le chirurgien, mais simplement lâhorreur dâune situation imprĂ©visible, cette patiente opĂ©rĂ©e dâune plastie mammaire bilatĂ©rale se retrouva avec une nĂ©crose totale dâun cĂŽtĂ© et une fonte purulente de la graisse du sein de lâautre. Câest-Ă -dire que dâun cĂŽtĂ© il nây avait plus de sein du tout et de lâautre cĂŽtĂ©, le sein Ă©tait rĂ©duit Ă un magma cutanĂ© peu propice au bonheur. Or, câĂ©tait une patiente dâune trentaine dâannĂ©es, dont la vie se trouvait ainsi brutalement gĂąchĂ©e. Il Ă©tait Ă©vident que pour elle, ce type dâintervention est une complication gravissime et entraĂźne une perte de chance qui nâest pas contestable. Ce nâest quâun an aprĂšs cette intervention que nous avons pu entreprendre un protocole de reconstruction en milieu hospitalier. Chacune des Ă©tapes de cette reconstruction fut difficile, car dâune part jamais nous ne pourrions arriver Ă un rĂ©sultat parfait, et dâautre part, câĂ©tait beaucoup de douleur et de souffrance Ă chaque fois, plus le stress de savoir si la reprise opĂ©ratoire allait conduire ou non de nouveau Ă une complication. Finalement, nous avons pu arranger tant bien que mal la poitrine de cette patiente pour lui donner une forme Ă peu prĂšs dĂ©cente, convenable ; mais il est Ă©vident quâelle Ă©tait mutilĂ©e Ă tout jamais en profondeur, aussi bien au niveau de son corps que de son esprit. Câest donc tout Ă fait justement quâelle entama un procĂšs contre lâhĂŽpital oĂč elle avait Ă©tĂ© opĂ©rĂ©e et oĂč une indemnisation lui fut proposĂ©e dans des conditions qui ne sont jamais tout Ă fait raisonnables pour la patiente, mais qui finalement arrivent par une transaction progressive Ă donner satisfaction et Ă compenser cette perte de chance que lâopĂ©ration avait occasionnĂ©e. Câest en rĂšgle le rĂŽle de lâassureur professionnel dâarriver Ă une compensation compassionnelle du prĂ©judice subi. Le procĂšs pour un drame ressenti, mais moins grave quâil nây paraĂźt Nous avons le souvenir dâune patiente au visage trĂšs maigre, et trĂšs particuliĂšre. On avait lâimpression que la mort sâĂ©tait adressĂ©e Ă elle pour lui rafler progressivement tout ce qui pouvait y avoir de rond et de sympathique sur ses traits. On voyait ses os, les yeux Ă©taient enfoncĂ©s dans les orbites. Cette patiente en plus avait un visage qui vieillissait trĂšs vite. Elle avait dĂ©jĂ subi deux liftings, le premier Ă©tant un mask-lift et le deuxiĂšme un soft-lift, câest-Ă -dire deux opĂ©rations un peu particuliĂšres, assez rapides, mais qui donnent des visages figĂ©s ou qui ne corrigent pas suffisamment un vieillissement. Dans ces conditions, il lui fut proposĂ© de rattraper lâensemble par une vraie opĂ©ration, par un lifting biplan tel que nous avons lâhabitude de le faire. Câest une opĂ©ration un peu plus importante que ce quâelle avait subi, mais qui Ă©tait destinĂ©e Ă la valoriser un peu. Cette patiente, suivie par la psychologue de notre service, se rĂ©vĂ©lait ĂȘtre toujours un peu instable ; les avis Ă©taient partagĂ©s quant Ă lâidĂ©e de devoir ou non lâopĂ©rer, au sein mĂȘme de notre Ă©quipe chirurgicale. Mais finalement, notre idĂ©e prĂ©valut il fallait lâopĂ©rer pour au moins lui apporter quelque chose de positif au niveau de son visage. Nous lui fĂźmes donc un lifting qui se dĂ©roula sans problĂšme, un peu plus difficile dans la mesure oĂč câĂ©tait le troisiĂšme passage chez une femme de la quarantaine. Les suites opĂ©ratoires au niveau local se dĂ©roulĂšrent parfaitement. Mais environ un mois aprĂšs lâintervention, cette patiente revint nous voir avec une vĂ©ritable boule dans les cheveux. Tous ses cheveux sâĂ©taient emmĂȘlĂ©s et avaient formĂ© une espĂšce de caillasse dure qui ne pouvait plus du tout ĂȘtre dĂ©mĂȘlĂ©e. Elle avait eu une permanente juste avant lâopĂ©ration et le produit iodĂ© de dĂ©s- infection que nous avions utilisĂ© Ă©tait peut-ĂȘtre responsable de la coagulation de es cheveux. Depuis, nous nâutilisons dâailleurs plus du tout dâalcool iodĂ©, mais un shampooing de bĂ©tadine. En tout cas, cette patiente avait donc sur la tĂȘte un vĂ©ritable caillou, de la taille un ballon de hand-ball. Au bout dâun moment, la seule solution qui apparut aprĂšs des tentatives dĂ©mĂȘlage dans des instituts capillaires spĂ©cialisĂ©s qui avouĂšrent leur impuissance dĂ©mĂȘler ses cheveux, fut de couper lâensemble de la masse de cheveux minĂ©ralisĂ©s. Ainsi cette patiente se tondit complĂštement le crĂąne en attendant la nouvelle pousse de ses cheveux qui, comme on le sait, prend Ă peu prĂšs dix-huit mois. TrĂšs furieuse dâavoir perdu ainsi ses cheveux et sans aucune rancĆur vis-Ă -vis i chirurgien, car le rĂ©sultat de son lifting Ă©tait superbe, elle dĂ©cida donc de faire i procĂšs Ă lâhĂŽpital pour manque de cheveux. Or, les procĂšs pour une administration hospitaliĂšre se dĂ©roulent devant le tribunal administratif ; plusieurs procĂ©dures de contestation et de conciliation devaient avoir lieu. Les opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique restaient payantes Ă lâhĂŽpital. Elle en avait dâailleurs Ă©tĂ© dĂ»ment prĂ©venue. Mais du fait mĂȘme quâelle avait eu cette complication capillaire, cette patiente avait refusĂ© de payer son intervention. Elle Ă©tait donc en double conflit avec lâhĂŽpital, dâune part en refusant de payer lâintervention et dâautre part, rejetant la responsabilitĂ© de la perte de ses cheveux sur le personnel infirmier hospitalier qui, disait-elle, avait mal fait son shampooing postopĂ©ratoire. Finalement, de procĂšs en procĂšs, la nĂ©gociation directe fut engagĂ©e avec lâadministration hospitaliĂšre de façon Ă Ă©viter lâĂ©rĂ©misation du dĂ©bat. En effet, le point Ă©tait que tant quâelle nâavait pas payĂ© son intervention, aucun dĂ©dommagement ne pouvait lui ĂȘtre accordĂ©. LâhĂŽpital pour cela Ă©tait trĂšs ferme. Dâun autre cĂŽtĂ©, lâhĂŽpital Ă©tait nĂ©anmoins engagĂ© au niveau responsabilitĂ© et il existait pour cette patiente une perte de chance ». Cette nĂ©gociation aboutit donc au paiement dâune seule journĂ©e opĂ©ratoire au lieu de trois, et la patiente accepta finalement que ses cheveux repoussent lentement en mĂȘme temps que son portefeuille en sortit moins dĂ©garni. VidĂ©o La chirurgie esthĂ©tique Les drames VidĂ©o dĂ©monstrative pour tout savoir sur La chirurgie esthĂ©tique Les drames 512
Je voudrais choisir deux types de chirurgies pour cette chronique lâaugmentation mammaire et lâaugmentation des fesses afin de partager quelques nouvelles rĂ©centes. En ce qui concerne lâaugmentation mammaire, la tendance est clairement dâadapter la forme et le volume du sein aux attentes, au corps et Ă la vie de la femme. La simulation 3D au service du chirurgien La simulation 3D est une rĂ©alitĂ© qui nous permet dâaborder certains dĂ©tails importants de la chirurgie et de simuler le rĂ©sultat final. Câest assez simple. Une camĂ©ra spĂ©ciale capture lâimage corporelle dâune femme ou dâun homme et la transforme en un modĂšle 3D, visible sur un Ă©cran dâordinateur. De lĂ , nous consultons les catalogues de prothĂšses prĂ©existantes et ajustons la taille et le volume aux prĂ©tentions du patient. Tout cela sâeffectue durant la consultation. Cet outil, trĂšs utile lors de la consultation prĂ©opĂ©ratoire, est dĂ©jĂ couramment utilisĂ© dans dâautres chirurgies telles que la rhinoplastie ou la liposuccion. Il est trĂšs important que le chirurgien conçoive lâimportance dâune telle intervention dans le quotidien de sa patiente. Les implants mammaires accompagneront la patiente dans les diffĂ©rentes Ă©tapes et moments de sa vie. Au quotidien les implants mammaires seront prĂ©sents dans la vie des femmes ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© de cette chirurgie. Il est donc essentiel pour le chirurgien et la patiente de se focaliser sur la consultation prĂ©opĂ©ratoire pour discuter de tous les dĂ©tails essentiels Ă la rĂ©ussite de cette chirurgie et dans la gestion des attentes de la patiente. Certains dĂ©tails comme la chronologie dâune intervention et son organisation sont importants. Choisir une augmentation mammaire ou un lipofilling des seins en hiver est un bon moyen de montrer vos nouvelles formes en Ă©tĂ©. Le temps de rĂ©cupĂ©ration mĂ©dicale pour cette intervention est compris entre 4 et 6 mois. DEVIS GRATUIT Lâaugmentation des fesses En ce qui concerne lâaugmentation des fesses, il y a en fait une plus grande concentration sur cette rĂ©gion du corps. Nous recherchons de plus en plus ce type de chirurgie pour obtenir un âfessier parfait et toniqueâ. Une tendance de plus en plus forte et prĂ©sente dans les blocs opĂ©ratoires est lâutilisation de graisse rĂ©coltĂ©e dans dâautres rĂ©gions du corps, oĂč elle Ă©tait en excĂšs, puis injectĂ©e dans le fessier. On peut donc avoir un volume de fesses plus important lĂ oĂč on veut et avec une substance » qui est la nĂŽtre, sans hypothĂšse de rejet. Il y a ceux qui appellent ça un lifting brĂ©silien aux Ătats-Unis, ou le lipofilling des fesses. RĂ©colter la graisse par exemple dans la rĂ©gion abdominale ou dans les flancs et la rĂ©injecter dans les fesses aprĂšs purification est un bon moyen de faire deux chirurgies en une. Les changements corporels aprĂšs un lipofilling des fesses sont impressionnants et restituent vĂ©ritablement au corps de la femme les formes perdues tout au long de la vie la silhouette fine et un fessier proportionnĂ© et courbĂ©.
Au-delĂ dâun traitement thĂ©rapeutique visant Ă guĂ©rir des maladies, la chirurgie est de nos jours pratiquĂ©e pour des fins diverses parmi lesquelles figure lâesthĂ©tique. Tel est le but de la chirurgie esthĂ©tique. DĂ©couvrez Ă travers cet article tout ce quâil faut savoir Ă propos de cette discipline. Quâest-ce que la chirurgie esthĂ©tique ? La chirurgie esthĂ©tique est lâune des multiples branches de la chirurgie plastique. Elle intervient au niveau des tissus superficiels non viscĂ©raux de lâorganisme et de la peau. Sa pratique nâest aucunement liĂ©e Ă une maladie ou une pathologie, mais plutĂŽt liĂ©e aux consĂ©quences morphologiques de vieillissement, de grossesse, ou dâinfirmitĂ©. Ainsi, elle vise Ă apporter des corrections ou des modifications Ă certaines parties du corps jugĂ©es inesthĂ©tiques par le bĂ©nĂ©ficiaire. Les causes Le recours Ă la chirurgie esthĂ©tique est dĂ» Ă plusieurs causes. Lâon peut citer entre autres lâinfluence des stars tĂ©lĂ©visĂ©es, la recherche du corps parfait, lâeffet de la mode, le refus de vieillir, les cas de pathologie ou de malformation physique. Dans un cas comme dans lâautre, lâavis dâun spĂ©cialiste est toujours recommandĂ©. Les techniques utilisĂ©es Dans la pratique de la chirurgie esthĂ©tique, plusieurs types dâintervention sont effectuĂ©s. Parmi celles-ci lâon peut citer les liftings, la rhinoplastie, la blĂ©pharoplastie, lâotoplastie, le cuir chevelu pour la chirurgie esthĂ©tique du visage. En ce qui concerne la chirurgie esthĂ©tique du sein, nous avons les prothĂšses mammaires, la rĂ©duction mammaire, la plastie mammaire ou le lift mammaire et la gynĂ©comastie. Pour la chirurgie esthĂ©tique de la silhouette, nous pouvons citer le lifting brachial pour les bras, le lifting crural pour les cuisses, lâaugmentation des fesses, lâabdominoplastie basse ou haute, le Body lift, la liposuccion et les techniques apparentĂ©es. Les risques La chirurgie esthĂ©tique a beau avoir de nombreux avantages, mais prĂ©sente aussi de nombreux risques. Le risque principal dans la pratique de cette discipline est de se faire traiter par un chirurgien inexpĂ©rimentĂ©. Fort est-il de constater que nombreux sont les chirurgiens qui manquent dâexpĂ©rience et qui exercent. Les risques secondaires liĂ©s Ă cette pratique sont les cas dâhĂ©morragie dĂ©tectĂ©e tardivement, les risques dâinfection pendant lâopĂ©ration, la non-cicatrisation des plaies causĂ©es par lâopĂ©ration, les troubles psychologiques et parfois mĂȘme les cas de dĂ©cĂšs. Autant de risques dont il faudra tenir compte. Pour y faire face, rien ne vaut le traitement dâun chirurgien professionnel et expĂ©rimentĂ©. Renseignez-vous donc sur votre mĂ©decin et prenez les avis de diffĂ©rents chirurgiens pour en ĂȘtre sĂ»r.
chirurgie esthétique à la recherche du corps parfait